Cependant, la rareté des eaux superficielles propres dans les zones rurales implique souvent l'exploitation de ressources souterraines pour assurer l'approvisionnement en eau potable.
Les activités de fabrication et de préparation peuvent également donner lieu à des rejets locaux dans l'air, les eaux usées ou les eaux superficielles.
Cette utilisation est d'autant plus compliquée que 70 % des eaux de surface de l'Azerbaïdjan, y compris des réserves en eau potable, proviennent d'autres pays.
Elle demande une indemnité pour les dommages qu'auraient subis les eaux de surface et les eaux souterraines ainsi que les forêts (y compris des arbres fruitiers).
Les principes applicables aux eaux de surface peuvent être appliqués aux eaux souterraines, à condition d'être élargis et adaptés aux caractéristiques particulières de ces dernières.
Mais il existe aussi une deuxième valeur, la valeur NPP, qui est le nombre le plus probable pour 100 millilitres, unité utilisée pour les eaux de surface, par exemple la Seine.