1.Actuellement, plus de 100 sites de minéralisation hydrothermale sont connus sur le fond marin, y compris au moins 25 sites dotés de bouches de fumeurs noirs à haute température.
2.Dans les modèles présentés dans ce document, la superficie des secteurs favorables correspond approximativement à 20 fois la taille des blocs attribués à la fin d'un cycle d'exploration de 15 ans (20 x 25 blocs).
3.Une série de cartes couvrant un secteur de 30 minutes sur 30 minutes d'arc (courbes de niveau équidistantes de 100 m) illustre le choix de zones favorables pour lesquelles on dispose de données bathymétriques plus détaillées.
4.Cela facilitera également les activités entreprises dans le cadre de la composante du projet portant sur les facteurs volcaniques et tectoniques de nature à avoir une incidence sur la formation des gisements décrits à la section C ci-après.
5.Les images acquises par le radiomètre spatial perfectionné pour la mesure de la réflectance et des émissions thermiques terrestres (ASTER) étaient utiles pour produire le modèle numérique d'altitudes qui permettrait de recenser les caractéristiques structurelles favorables à la minéralisation, et donc de trouver des zones d'altération.
6.Dans ce modèle, des zones géologiquement favorables délimitées par des tronçons de dorsale ou d'autres éléments géologiques similaires et contenant au moins un gîte de sulfures polymétalliques ou une autre indication claire de minéralisation ont été sélectionnées dans chaque zone de cinq degrés de côté (appendice 3).
7.Si la distribution géographique de ces processus en eaux de surface a persisté pendant la majeure partie de la période qui a vu la formation des principaux gisements de nodules polymétalliques (période estimée à moins de 15 millions d'années), on peut en déduire que la concentration des gisements est liée à la persistance et à l'intensité des processus biologiques qui évacuent les particules présentes dans les eaux de surface à l'heure actuelle.