Ma jolie Virlandaise conservait son calme habituel. Elle embrassa son tuteur, mais elle ne put retenir une larme en effleurant ma joue de ses douces lèvres.
Puis, je me disais que j’aurais mieux fait de ne pas lui écrire, d’aller chez elle dans la journée, et que, de cette façon, j’aurais joui des larmes que je lui aurais fait répandre.
Lorsqu’il était assis, elle appuyait sa joue sur ses cheveux blancs et y laissait silencieusement tomber une larme en se disant : C’est peut-être ma mère, cet homme-là !
Blessée dans les endroits les plus sensibles de son âme, elle garda chez elle le plus profond silence ; mais plus d'une larme roula sur les joues et sur le front de l'enfant qu'elle nourrissait.