Selon le Kazakhstan, la baisse des concentrations d'azote dans le fourrage en diminuerait la teneur en protéines, d'où une diminution de la valeur nutritionnelle de l'alimentation du bétail.
Une fois réduits en pâtes, les criquets sont pesés, puis plongés dans l'acide sulfurique, indispensable pour déterminer le niveau d'azote, qui permettra ensuite de mesurer le taux de protéines.