Qu'à cela ne tienne, le général Mercier s'adresse à un troisième expert, Bertillon, le fameux inventeur de l'anthropométrie, qui n'est pourtant pas graphologue.
Le criminologue Alphonse Bertillon est lui aussi consulté : il n'y connaît rien en graphologie, mais il voit bien que les écritures ne correspondent pas totalement.
Bertillon a également systématisé l'anthropométrie des suspects, c'est-à-dire prendre les mesures de leurs corps (le tour de tête, la hauteur du front, la longueur du pied etc.) pour pouvoir les identifier en cas de récidive.