Inaugurée le 4 juin 1846, la première Gare du Nord, parce qu'il en aura deux, est construite sous la supervision des ingénieurs des ponts et chaussées d'après les plans de Léonce Reynaud, professeur d'architecture à l'École polytechnique.

第一个火车北站于 1846 年 6 月 4 日落成，这个火车站是根据巴黎综理学院建筑学教授莱昂斯·雷诺的计划和在桥梁和道路的监督下建造的。

Léonce prit sur elle de s'en occuper.

Léonce se mit alors au travail.

On va mettre le lit de Paul près de la fenêtre… Léonce ferma les yeux un instant, patiente.

Léonce, effarée, regardait passer les billets, on avait dépensé plus de six mille francs.

En début de matinée, Léonce arriva, procéda aux ultimes vérifications.

Pour les murs, Léonce avait choisi des teintes vives et gaies, des rideaux clairs.

Elle rejoignit Léonce et André, muets tous les deux.

Quand Léonce parla d'embaucher une infirmière, Madeleine balaya la proposition d'un revers de main.

Léonce fut déroutée par cette question.

Léonce obtint que Madeleine s'allonge sur le lit où elle continua de sangloter.

Léonce se demandait avec curiosité de quelles sommes sans doute astronomiques on allait parler.

Il y avait un peu de bave à la commissure de ses lèvres, Léonce regretta de n'avoir pas pris un mouchoir.

Le notaire, les lèvres pincées, serra la main de Léonce qui sortit à son tour.

Léonce retourna chez les Péricourt chercher des vêtements de rechange et se refaire une beauté.

– Madeleine, supplia Léonce d'une voix douce, je vous en prie… Personne n'ouvrit plus la bouche.

À l'autre extrémité de la rangée, Léonce Picard, plus ravissante que jamais derrière une voilette parme, avait sobrement croisé les mains sur ses genoux.

Léonce apparut enfin qui écarta tout le monde et fut la première à descendre vers la voiture dont elle ouvrit la porte.

On n'avait revu Madame qu'en coup de vent, elle venait juste changer de vêtements, répondait aux questions du personnel de manière distraite et pressée, voyez avec Léonce.

Il fit un geste théâtral, tenta de prendre à témoin une assemblée limitée à Léonce parce que Gustave lui tournait ostensiblement le dos pour enfiler son pardessus.