Le montant exigé comme rançon va de 10 000 dollars pour un Somalien à 80 000 dollars pour un étranger, en particulier l'employé d'une organisation internationale.
Il est bien évident que l'introduction de quantités énormes de monnaie illégale, si elle a enrichi les coupables de ces actes, a ravagé l'économie somalienne et ruiné le Somalien moyen.
Il n'est pas nécessaire de justifier de son identité, et même quelqu'un qui n'est pas Somalien peut obtenir un passeport (ou un passeport diplomatique) sur demande.
Plus précisément, les opérations de la société Barakat dans les domaines des transferts de fonds et des télécommunications ont été gelées, ce qui a eu des effets négatifs sur les revenus du Somalien moyen et l'économie en général.