2.Il recommande également à l'État partie d'accorder au mari non yéménite d'une Yéménite le droit de résider dans le pays pendant cinq ans dont jouit l'épouse non yéménite d'un Yéménite.
3.La législation actuelle sur la nationalité n'empêche pas une Yéménite mariée à un non Yéménite de transmettre sa nationalité à ses enfants dans certaines circonstances, mais il reste encore des efforts à faire pour veiller à ce que les amendements proposés à cette législation, dont le Parlement est actuellement saisi, soient adoptés.