La légende raconte que le sultan à l'origine de la destruction du nez du sphinx de Gizé a été pendu, puis brûlé pour vandalisme par les paysans adorateurs de la créature divine.
D'ailleurs dans un de ses bouquins, Grégoire de Tours raconte que des adorateurs du dieu des eaux se réunissaient souvent sur les rives et y déversaient des écus, des bijoux et plein d'autres trucs de valeurs qui brillaient.
Elle est comme un Dieu cruel qui accepte de sauver un de ses adorateurs, de temps à autre, comme par exemple lorsqu'elle apprend le latin à Elena, constituant ainsi une dette immense dont l'autre ne pourra jamais s'acquitter.
Pour ses adoratrices, on inventa même le mot «marianite» , maladie chronique et incurable, qui les atteignait de plein fouet dès qu’elles avaient vu l’artiste sur scène.