L’algèbre s’applique aux nuages ; l’irradiation de l’astre profite à la rose ; aucun penseur n’oserait dire que le parfum de l’aubépine est inutile aux constellations.
Ce qu’on appelle les chiffres arabes, d’abord pour les différencier des chiffres romains, bien plus compliqués et incommodes à utiliser, qui se prêtent beaucoup moins bien à l’arithmétique, et moins encore à l’algèbre.