Ainsi, le Président de l'Équateur a déclaré, le 8 octobre 1985 : « Tant qu'on n'en viendra pas à une élection populaire légitime où tous les Nicaraguayens aient le droit de disposer d'eux-mêmes et de choisir leur futur destin, mais sans y inclure le garrot, le gibet ni la violence, le drame centraméricain ne s'éteindra pas. » À ces affirmations, le Président du Nicaragua, Daniel Ortega, a répondu le 10 octobre en accusant son homologue équatorien d'être « un instrument des États-Unis, cherchant à diviser la communauté latino-américaine et à faire obstacle aux efforts de paix en Amérique centrale ».
10日,尼加拉瓜总统丹尼·奥特加针对这一讲厄瓜多总统是“合众国的走狗,而合众国正在企图分裂拉丁洲共同体,并阻挠中洲的和平努力。”