En ce qui concerne la crise énergétique, nous soulignons que la première mesure à prendre doit être de modifier les schémas de consommation gaspilleurs des pays industrialisés.
De plus, la négociation des textes issus de l'examen nécessitera une longue procédure gaspilleuse d'énergie et détournera l'attention d'une évaluation sérieuse des progrès réalisés au titre du Programme d'action.