Selon les participants, les gouvernements et les organisations internationales prenaient peu à peu conscience des sexospécificités dans la macroéconomie.
Troisièmement, la communauté internationale devrait appliquer toutes les recommandations figurant dans le rapport nouvellement publié de la Commission Macroéconomie et Santé.
Elle serait notamment dotée d'une capacité consultative dans les domaines de la macroéconomie, des politiques en faveur des pauvres et des finances publiques.
Des ateliers ont été organisés pour la mise en réseau et l'échange de connaissances sur les sexospécificités , la macroéconomie et les budgets nationaux.
Les délibérations du CCS sur cette question s'inspiraient des travaux de la Commission macroéconomie et santé, créée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Comme il est dit dans le rapport de la Commission Macroéconomie et santé: «Les pauvres bénéficient de la recherche-développement quand les riches souffrent aussi des mêmes maladies.».
Concernant le sous-programme 1, le représentant a salué le traitement intégré du développement, avec ses composantes macroéconomie, financement et dette, et a souhaité que le programme soit renforcé.
De nombreux représentants ont insisté sur l'importance de la synchronisation des politiques, en particulier en matière de macroéconomie et de libéralisation des marchés de capitaux et des échanges.
Des séries similaires ont été établies concernant la macroéconomie, le commerce, les statistiques, l'environnement et un certain nombre d'autres questions sectorielles relevant des programmes de travail des commissions régionales.
Il a déclaré que la prise de décisions concernant la macroéconomie nécessitait à la fois le maintien d'une base stable et une prévoyance économique à long-terme.
Des experts et des chercheurs d'Université, d'instituts de recherche, de corps de métier ont donné leurs points de vue sur la macroéconomie, la finance, le commerce, la réforme du système, l'immobilier, l'économie privée.