Ces images sont des métaphores du dilemme de notre existence moderne : elles tentent d'établir un dialogue entre attraction et répulsion, séduction et crainte.
Cela étant, je voudrais utiliser deux métaphores pour illustrer certaines des difficultés qui sont les nôtres chaque mois lorsque nous nous réunissons pour discuter du Kosovo.
La deuxième métaphore est celle d'aller là où nous voulons, et pour cela, j'évoquerai l'image d'un gros rocher que l'on essaie de hisser au sommet d'une montagne.
Rappelons-nous la métaphore d'une Américaine, auteur célèbre, qui parlait de « l'effet Dracula », une référence faite à ce type d'accord qui ne peut être conclu que dans les ténèbres.
La vie de la population est devenue une métaphore, mais aussi une réalité faite de misère et d'injustice, où la notion même de foyer est vidée de tout son contenu.
Néanmoins, je pense qu'il ne nous sera pas impossible de franchir ces pas; après tout, nous passerons le témoin au prochain millénaire - qu'on me pardonne ce cliché, mais le désarroi appelle des métaphores extrêmes.