2.Craqueurs d'ammoniac ayant une pression de fonctionnement supérieure ou égale à 3 MPa (450 psi) spécialement conçus ou préparés pour la production d'eau lourde par le procédé d'échange ammoniac-hydrogène.
3.Cette décision est motivée par le fait que ce consultant a retenu une pression absolue d'écoulement au fond du sondage de 14,7 psi et s'est fondé, pour chaque puits, sur un débit potentiel maximal dérivé d'une analyse nodale qui n'a pas pu être reproduite.
4.Soufflantes ou compresseurs centrifuges à étage unique sous basse pression (c'est-à-dire 0,2 MPa ou 30 psi) pour la circulation de sulfure d'hydrogène (c'est-à-dire un gaz contenant plus de 70 % de H2S) spécialement conçus ou préparés pour la production d'eau lourde par le procédé d'échange eau-sulfure d'hydrogène.
5.Tours d'échange ammoniac-hydrogène d'une hauteur supérieure ou égale à 35 m (114,3 pieds) ayant un diamètre compris entre 1,5 m (4,9 pieds) et 2,5 m (8,2 pieds) et pouvant fonctionner à des pressions supérieures à 15 MPa (2 225 psi), spécialement conçues ou préparées pour la production d'eau lourde par le procédé d'échange ammoniac-hydrogène.
6.Dans le cadre de son programme de vérification, le Comité a constaté que le consultant 1 de la KPC avait retenu la pression atmosphérique en tant que valeur limite théorique de pression au fond de chaque puits dans la construction de son modèle de simulation de réservoir (soit une pression absolue de 14,7 psi au fond du sondage).
7.Échangeurs de chaleur spécialement conçus ou préparés, constitués ou revêtus intérieurement de matériaux résistant à l'UF6 (à l'exception de l'acier inoxydable) ou de cuivre ou d'une combinaison de ces métaux et prévus pour un taux de variation de la pression due à une fuite qui est inférieur à 10 Pa (0,0015 psi) par heure pour une différence de pression de 100 kPa (15 psi).
8.Tours d'échange fabriquées en acier au carbone fin (par exemple ASTM A516), ayant un diamètre compris entre 6 m (20 pieds) et 9 m (30 pieds), capables de fonctionner à des pressions supérieures ou égales à 2 MPa (300 psi) et ayant une surépaisseur de corrosion de 6 mm ou plus, spécialement conçues ou préparées pour la production d'eau lourde par le procédé d'échange eau-sulfure d'hydrogène.
9.S'il a pris cette décision, c'est en raison de l'ampleur des pertes chiffrées dans ce rapport (qui portait sur le gisement le plus important mentionné dans la demande d'indemnisation), en raison de la différence appréciable entre les estimations de ce consultant selon qu'il s'agisse de la simulation de réservoir ou de l'analyse nodale, et en raison de la limite de pression absolue de 14,7 psi retenue comme hypothèse pour la pression d'écoulement au fond du puits.