À cet égard, il est préoccupé par la lenteur des progrès réalisés en matière de désarmement nucléaire, ainsi que par les revirements dans certains cas.
Ces revirements, ces changements d'idées, ont donné l'impression d'un manque de décision centralisée et d'une absence de continuité des engagements pris.
« Ne serait-il pas parti ! s’écria Glenarvan, qui, par un revirement facile au cœur de l’homme, ne voulait plus désespérer. Peut-être sommes-nous arrivés avant lui ! »