Les tentatives faites pour parvenir à un texte de consensus ont presque inévitablement conduit à reprendre peu ou prou le libellé des textes précédents.
En tout état de cause, l'histoire jugera nos travaux à travers le prisme des événements qui, si la Conférence se remet au travail, pourront être évités.
Comme un des candidats aux portefeuilles ministériels n'a pas reçu l'agrément de mon Bureau, j'ai demandé au parti concerné (le SBiH) d'en proposer un autre.
Ainsi, nous arriverons à la dernière semaine de la session de la Commission du désarmement sans être parvenus à aucun résultat ni compromis sur les points de l'ordre du jour.
Le Comité des commissaires aux comptes a confirmé, toutefois, que les observateurs concernés avaient fini par accumuler le nombre de jours de congé nécessaire pour avoir droit aux indemnités en question.
L'autre sujet d'inquiétude croissante est que la réduction des coûts pourrait bien devenir un exercice de sabrage des ressources, ce qui mettrait les organisations engagées dans la réforme en position défavorable.
Cette Organisation n'a certainement pas toutes les solutions et ressources nécessaires car, en fin de compte, elle est freinée par le plus petit dénominateur commun, à savoir nous-mêmes, les États membres.
Pas un liard, murmurait-elle, rien à se mettre sous la dent, et toutes les fosses qui s’arrêtaient. Enfin, quoi ! la crevaison du pauvre monde, comme aujourd’hui !
En fait, c'est une sensation assez chouette, à vivre une fois dans une vie, de se retrouver avec plus aucuns biens matériels et de partir comme ça en bateau.
Mais enfin, son ancienneté l'a fait oublier et ce mot fait partie de ce langage du tutoiement, que ce soit celui de la camaraderie ou du commandement un peu méprisant.
Dès qu’on bouge, on vous rend votre livret, disait-il. Le vieux a raison, ce sera toujours le mineur qui aura la peine, sans l’espoir d’un gigot de temps à autre, en récompense.
C’était bien la peine, continua le jeune homme avec un sourire mélancolique, de faire dix ans la guerre aux Anglais pour en arriver à mourir, comme tout le monde, dans son lit.
Parbleu ! tout le monde aimait ses aises ; mais, n’est-ce pas ? quand on n’avait pas su mettre un sou de côté, on faisait comme les camarades, on se serrait le ventre.
Les appels à la vigilance et les menaces de sanction proférées avant l'arrivée à la monnaie européenne unique n'y ont rien fait: les prix ont dérapé, surtout les petits prix, arrondis à la hausse.
La première solution, c'est dire « On ne l'admets pas, on met des troupes, on met des armées, et à la fin, ça ne va finir pas prendre feu .» Et moi, je suis contre ça.