Dans l'océan d'un football business mondialisé, sans scrupules et souvent sectaire, le club, dont l'emblème est une tête de mort, est un bateau pirate.
La violence demeure courante en Irak malgré une baisse importante observée depuis 2006-2007, alors que le pays était engouffré dans des conflits sectaires.
Cette jeune génération d’Irakiennes a connu l’invasion américaine de 2003, le sang des guerres confessionnelles et le groupe État islamique sur son sol.
Malheureusement, les dirigeants irakiens n'ont pas été capables de surmonter la méfiance et les divisions sectaires qui sont enracinées là-bas depuis long temps.