Parmi les manifestants traduits en justice, les Israéliens palestiniens sont maintenus en détention de façon disproportionnée en attendant leur jugement.
Les manifestants se sont attaqués à des bureaux de l'administration locale dans plusieurs districts de l'ouest, agressant des fonctionnaires et incendiant des biens.
Si les communautés autochtones résistent à la dépossession, le racisme facilite le recours à la violence par les politiciens pour mâter les contestataires.
Israël a aussi traité durement les civils qui assistaient aux prières du vendredi et les manifestants qui ont pacifiquement fait entendre leurs points de vue.
L'un des manifestants, le requérant, portait une pancarte indiquant le nom du syndicat auquel il était affilié et avait été identifié et arrêté sur cette base.