Pourquoi cette phrase est-elle fausse ?D'abord, parce que ce pauvre garçon aux yeux torves et à la peau blême est moche comme un pou et bête comme ses pieds.
L’Aveugle s’affaissa sur ses jarrets, et, la tête renversée, tout en roulant ses yeux verdâtres et tirant la langue, il se frottait l’estomac à deux mains, tandis qu’il poussait une sorte de hurlement sourd, comme un chien affamé.
Les passions et les amours qui se succèdent n’avaient point fait en lui de ces verts successifs, vert tendre sur vert sombre, qu’on remarque sur les feuillages qui passent l’hiver et sur les hommes qui passent la cinquantaine.