Un barrage de gendarmerie filtre les voitures, immobilisant, preuves du radar à l’appui, tous ceux qui n’auraient pas respecté la signalisation routière.
Elle aimerait voir les chiffres de la violence conjugale ventilées par sexe, car elle doute que beaucoup de femmes soient assez téméraires pour battre leur mari.
Contrairement à ce qu'il affirme, le Gouvernement cubain n'est pas une victime mais plutôt un tyran, qui punit implacablement tous ceux qui osent avoir une opinion différente.
Ces localités ont récemment subi des combats intensifs et quelques attaques très audacieuses commises contre des institutions gouvernementales et des établissements militaires à Ndélé, Markounda, Bossembélé et Batangafo.
Tout cela découragera quiconque ose porter atteinte à la paix civile que la société libanaise tout entière s'est efforcée d'instaurer et de préserver, avec l'appui de la communauté internationale.
Le Gouvernement cubain n'est pas une victime comme il voudrait le laisser entendre, mais bien plutôt un tyran punissant agressivement tous ceux qui osent professer une opinion différente de la sienne.
Quel est le dirigeant israélien qui osera, à l'avenir, démanteler celles-ci, au nom de la paix nécessaire avec les Palestiniens si elles se sont développées à l'ombre d'une barrière de sécurité?
Si l'Union soviétique avait osé dépasser la ligne divisant Berlin ne serait-ce que de quelques mètres et élever le mur du côté occidental, cela aurait fort bien pu déclencher une troisième guerre mondiale.
Il ne fait aucun doute que la passivité du Conseil de sécurité encourage Israël à faire fi de la volonté de la communauté internationale qui est reflétée, entre autres, dans de nombreuses résolutions de l'Assemblée générale.
Le message est clair pour tous : Israël s'en sort sans une égratignure malgré ses défis répétés des décisions du Conseil, quand d'autres doivent payer le prix de toute velléité de résistance aux décisions du Conseil.
Six semaines de prison pour avoir écrit un livre sur la peine capitale, et plus de 11 000 euros d'amende : la justice de Singapour a la main lourde quand on ose mettre en doute son intégrité.
Lui seul en mangeait avec Gervaise, parce que les autres, les Parisiens, pour s’être un jour risqués à y goûter, avaient failli rendre tripes et boyaux.
L'une était en deuxième année ; l'autre, une élève de cinquième année, avait (à sa grande horreur) une carrure suffisante pour l'assommer en cas de refus.
Elle trouvait Coupeau lâche devant sa sœur. La veille encore, il criait fort, il jurait de les remettre à leur place, ces langues de vipères, s’ils lui manquaient.
Mes-Bottes comprit et se remit à invectiver cet entortillé de père Colombe. Comment ! une bride de son espèce se permettait de mauvaises manières à l’égard d’un camarade !
Oserez-vous porter la main sur votre reine ? dit Anne d’Autriche en se dressant de toute sa hauteur et en fixant sur le chancelier ses yeux, dont l’expression était devenue presque menaçante.
Aussitôt un grand chien noir se leva et fit quelques pas en aboyant et en montrant ses dents blanches et aiguës ; double démonstration hostile qui prouvait le peu d’habitude qu’il avait de la société.
Vous jouez-vous de la justice, accusé, et oseriez-vous donner à vos concitoyens le spectacle d’une corruption qui, dans une époque qui cependant ne laisse rien à désirer sous ce rapport, n’aurait pas encore eu son égale ?
Si l’on se permet quelque chose de vrai et de neuf, ils sont étonnés, ne savent que répondre, et le lendemain matin à sept heures, ils vous font dire par le premier secrétaire d’ambassade, qu’on a été inconvenant.