Nous accordons l'attention qu'il convient à tous les problèmes qui concernent les jeunes, en particulier la catégorie des chômeurs de notre jeune population.
La majorité des chômeuses n'ont guère de qualification et seulement 22,5% ont des carrières, travaillant dans l'administration publique, dans des industries mécaniques ou dans des métiers techniques.
Il note aussi avec préoccupation que le chômage de longue durée s'aggrave et qu'une forte proportion de jeunes âgés de moins de 25 ans se retrouve parmi les chômeurs.
Dans le but de remédier au problème du chômage partiel involontaire, le gouvernement a constitué une commission qu'il a chargée d'explorer les possibilités de renforcer le droit à un emploi à plein temps.
Le chômage des jeunes continue à être une question urgente dans toute la sous-région, où environ 65 % des 270 millions d'habitants ont moins de 30 ans et sont pour la plupart au chômage ou sous-employés.
Le Comité juge préoccupant que seule une proportion très faible de chômeurs reçoivent des indemnités et note que l'État partie n'a pas fourni de réponses détaillées aux préoccupations qu'il avait précédemment exprimées à ce sujet.
Ainsi, depuis le mois de septembre 1998, les femmes qui sont inscrites au chômage ont droit à des allocations de grossesse et d'accouchement, qui leur sont versées par les bureaux de la main-d'œuvre dont elles relèvent.
Les assurés qui perçoivent une pension au titre d'un régime de retraite professionnelle privé voient leur JSA réduite de 10 pence pour chaque portion de 10 pence de la pension si elle est supérieure à 50 livres par semaine.
De la même manière, en matière de chômage, nous nous référons à la partie IV (« Prestations en cas de chômage ») de la section II du Mémoire de la Convention No 102 de l'OIT déjà cité.
China State a également présenté une déclaration sous serment faite par un spécialiste du droit chinois du travail à propos de la réclamation concernant les salaires versés, car celle-ci comprend un élément relatif à la perte d'emploi.
Nos artistes, artisans, indépendants, salariés, entrepreneurs ont été accompagnés avec le chômage partiel, les prêts garantis par l'Etat, le fonds de solidarité et de nombreuses aides sectorielles.
Et ils seraient impliqués dans une gigantesque affaire de fraude au chômage partiel et de blanchiment d'argent portant, pour la partie israélienne, sur plusieurs millions d'euros.