2.Étant donné que le militarisme constitue l'une des principales causes des crises politiques africaines à caractère ethnique ou religieux, le Rapporteur spécial a suggéré d'accorder une priorité particulière à la limitation consensuelle des armements.
3.Il est temps de mettre fin aux violences physiques et verbales, aux suspicions, aux rancoeurs, aux clivages, aux rivalités, aux confrontations et au militantisme déplacé pour s'inscrire dans une nouvelle dynamique qui met en avant la responsabilité des Burundais, la confiance, la cohésion, la réconciliation ainsi que la croyance en un avenir commun et partagé.