5.M. Licher (Pays-Bas) dit que les femmes constituent plus de 35 % des parlementaires, mais certains objectifs n'ont pas été réalisés dans d'autres secteurs gouvernementaux.
6.M. Licher (Pays-Bas) déclare que la législation sur l'égalité de traitement et la non-discrimination s'applique aux Pays-Bas aussi bien au travail à temps plein qu'à temps partiel.
7.M. Licher (Pays-Bas) dit que le Gouvernement considère que sa stratégie sur la prise en compte des spécificités est globale dans la mesure où elle concerne différents aspects de la société.
8.M. Licher (Pays-Bas) ajoute que les États Parties sont dans l'obligation de mettre en œuvre la Convention en adoptant une législation appropriée et en contrôlant l'exécution de cette obligation dans tous ses aspects.
9.M. Licher (Pays-Bas) dit qu'en dépit de la responsabilité qui lui incombe d'assurer une représentation paritaire, le Gouvernement est opposé aux quotas imposés par la loi dans l'administration ou dans la vie politique.
10.M. Licher (Pays-Bas) répond que les Antilles néerlandaises disposent de leurs propres organes gouvernementaux et ne sont pas représentées au Parlement des Pays-Bas, mais que les citoyens des Antilles néerlandaises résidant aux Pays-Bas peuvent être élus au Parlement.
11.M. Licher (Pays-Bas) explique que, depuis quelques années, avec la participation des médias et des partenaires sociaux, le Gouvernement a lancé une campagne ambitieuse auprès de tous les secteurs de la société néerlandaise en vue de sensibiliser les hommes et d'éliminer les préjudices concernant les soins à donner aux jeunes enfants et le travail domestique.
12.Répondant aux préoccupations exprimées au sujet de la diffusion d'informations sur la Convention et la présentation de rapports de situation au Parlement, M. Licher (Pays-Bas) dit que la Convention a été traduite en néerlandais, qu'elle a été largement diffusée et qu'elle a fait l'objet de débats dans de nombreux cercles, y compris au Parlement et parmi les ONG.
2.C’était bien de ne pas licher, de ne pas souffler dans le nez des filles, sur les trottoirs ; mais il fallait pourtant qu’un homme fût un homme, sans quoi autant valait-il tout de suite porter des jupons.