Cavaignac était de bonne foi, il pensait réellement que les attaques contre l'armée étaient de pures calomnies imaginées par une clique de bandits et de Juifs.
De là, une impossibilité absolue de s’entretenir avec les honnêtes gens ou les pillards. C’était à regretter de ne pas se trouver en face d’une bande de « rastreadores, » dût-on commencer la conversation à coups de fusil.