2.S'il n'est pas faux de dire que la prolifération des armes de destruction massive est une menace à la paix et à la sécurité internationales, nous ne devons pas oublier pour autant que l'existence de ces armes constitue en elle-même la première menace contre l'humanité.
3.Si le Conseil est encore entravé dans son adoption de la résolution, mon pays n'aura pas d'autre choix que de recourir à cette auguste Assemblée afin qu'elle prenne les mesures nécessaires pour nous rendre justice contre un État qui refuse de lever les sanctions, un État qui était en premier lieu à l'origine de l'imposition de ces sanctions.