Cavaignac était de bonne foi, il pensait réellement que les attaques contre l'armée étaient de pures calomnies imaginées par une clique de bandits et de Juifs.
La prisonnière ne voulut pas perdre de temps, et elle résolut de faire, dès cette même soirée, quelque tentative pour sonder le terrain, en étudiant le caractère des gens auxquels sa garde était confiée.