L'affaire concerne six accusés (Nyiramasuhuko, Ntahobali, Nsabimana, Nteziryayo, Kanyabashi et Ndayambaje). C'est le plus grand nombre d'accusés jugés ensemble.
L'affaire dite de « Butare » et l'affaire dite des « Militaires » constituent des dossiers extrêmement volumineux et les procès en sont relativement à leur début.
Deuxièmement, l'accès au fonds ne doit pas être sujet à un mécanisme bureaucratique pesant et devrait servir à renforcer les capacités nationales des pays bénéficiaires.
Pour la première fois, la Convention a ainsi offert un cadre juridique universel et général pour partager les océans en tant que patrimoine commun de l'humanité.
Ils se plaignent cependant de la durée du transport, des formalités à accomplir ainsi que de l'accroissement de leurs coûts par rapport au transport par avion.
Ils ont également estimé que la mise au point d'un tel instrument serait extrêmement long et exigerait des ressources importantes et éventuellement des procédures très lourdes.
Ils ont également été encouragés à contribuer aux débats sur la structure de l'aide, en particulier pour dire si les processus actuels étaient trop complexes et exigeants.
En outre, les critères régissant l'accès au financement ne devraient pas être pesants et bureaucratiques et les pays qui en ont le plus besoin devraient en être bénéficiaires.
Il s'agit de trouver un compromis entre la protection des intérêts des déposants dans les institutions d'épargne et la bureaucratisation excessive de ce secteur par une réglementation tatillonne.
Les raisons de cette limite sont : la pauvreté, l'analphabétisme, la méconnaissance des droits, la sous-information, la peur de la réprobation sociale et les pesanteurs de la procédure judiciaire.
Le Comité a pris note des préoccupations suscitées par la multiplication des bases de données et des techniques d'information disponibles et de la nécessité de promouvoir la compatibilité et l'interconnectabilité entre elles.
Troisièmement, dans son rapport, le Secrétaire général signale que « le Département de l'information souffre d'une fragmentation de ses efforts, qui tient à la multiplication de ses mandats et de ses missions » (par. 60).
L'information est trop importante et trop rapide pour que nous puissions la digérer, la traiter, la comprendre et la mettre en perspective, on parle d'hyper choix.
Carter écrira plus tard “c'était un vrai musée, une pièce meublée des objets les plus divers, les uns familiers, d'autres que l'on n'avait jamais vus, entassés les uns sur les autres dans une profusion infinie”.