Ce qu'il y a, c'est qu'à chaque foison replonge dans la nasse, dans le piège, parce qu'on ne s'est pas préparé avantl'insurrection, on ne s'est pas préparé à qui va écrire le monde d'après, quiva écrire le contrat social suivant.
On parle alors, dans les fabliaux, de « gorges gloutes » , des ripailles « à grant mesure » , des festins à « foisons » , des plaisirs à « farcir son ventre » , des « manger et boire à volonté » .