Le Gouvernement des États-Unis d'Amérique mène une guerre larvée contre Cuba dans le domaine de la téléinformatique, en violation des règles et lois internationales pertinentes.
Face à ce problème larvé dont a hérité le Président Karzai, son gouvernement a fait montre du ferme engagement et de la volonté politique qui s'imposent.
Or, la garantie de l'emploi dans une région où le chômage, le sous-emploi et le chômage larvé sévissent sur une large échelle représente un véritable défi.
En outre, il peut englober les situations larvées, notamment celles qui se produisent brusquement mais sont la conséquence de facteurs qui se sont accumulés sur une certaine période.
Le Coordonnateur des activités humanitaires a décrit la situation qui régnait dans la région frontalière d'Uvira, sur les Hauts Plateaux et à Fizi-Baraka comme étant une « catastrophe larvée ».
Et pourtant, lorsque nous nous penchons sur ces menaces, nous ne devons pas, nous ne pouvons pas passer sous silence le legs des problèmes larvés laissés par le passé.
Ainsi, si nous nous réjouissons de l'évolution positive de la situation au Libéria, en Sierra Leone, en Guinée-Bissau et aux Comores, d'autres conflits larvés ou ouverts requièrent notre attention.
Cependant, il ne faut pas oublier que la plupart de ces pays sortant de conflits parfois larvés qui ont mis à mal le tissu économique éprouvent d'énormes difficultés à se relever.
Les mécanismes de règlement pacifique des différends, prévus par la Charte des Nations Unies, devraient être activés pour traiter les causes profondes des conflits, et notamment pour résoudre les différends larvés.